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TIC et gestion urbaine
Les TIC s’invitent dans la gestion de l’espace urbain en Afrique subsaharienne et peuvent générer des économies de ressources mais aussi améliorer le service public. Ils interviennent dans divers champs ou thématiques urbaines comme l’environnement, les risques, l’énergie, le transport, l’activité économique, l’éducation et le recherche, la santé, etc. Au Cameroun, les zones urbaines et leurs territoires partagent aujourd’hui presque les mêmes problématiques. Ces outils flexibles pourraient permettre aux acteurs urbains actuels et potentiels de :
- Rassembler les données en vue de piloter de manière intelligente et durable la ville (automatiser les tâches, affiner la prise de décision).
- Gérer le « lac de données » ou données massives (« Big data »).
- Miser sur l’ouverture et le partage des données (« Open data »).
- Travailler en mode collaboratif.
- Construire des plateformes numériques de gestion urbaine et d’aide à la prise de décision.
- Développer des services innovants pour les citoyens.
- Développer une intelligence collective.
- Protéger les données et d’aller ensemble vers des projets commun d’avenir.
- Coproduire la ville avec les citoyens.
- Promouvoir les villes intelligentes (« Smart city »).
- S’intégrer dans la restructuration des services publics opérée par l’Etat (intercommunalité, décentralisation, régionalisation, métropolisation, etc.).
- Contribuer à l’attractivité des villes.
- Décider ensemble (coopérer) meilleure solution que le chacun pour soi (la concurrence).
AUTRES ELEMENTS DU DOSSIER
- Les chiffres clés
- Les atouts pour des « ambitions mondiales »
- Les dysfonctionnements dans le secteur des TIC
- Les axes d'intervention possibles
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