Sécurité alimentaire : « Sombres perspectives pour le Cameroun »

Le journal Intégration rapporte que, du fait d’une insécurité persistante, les régions de l’Extrême-Nord, du Nord-Ouest et du Sud-Ouest risquent le pire à partir de janvier/février 2024. Il en est de même pour l’Adamaoua, hôte d’une forte population de réfugiés centrafricains et des déplacés internes, des zones urbaines de Yaoundé et de Douala. À noter que, selon le Bureau de coordination de l’action humanitaire des Nations Unies (OCHA), 2.940.807 personnes sont en insécurité alimentaire dans le pays à fin 2023, soit 10,6%.