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Plus on écoute ce que le secteur privé a à dire, mieux c’est pour l’économie camerounaise

M. Célestin Tawamba, le président du GICAM

Le patronat est représenté auprès d’une cinquantaine d’instances décisionnelles du secteur public. Ce qui permet d’entendre la voix du secteur privé, en particulier sur les questions portant sur le crédit, le droit social, les politiques commerciales, les questions d’investissement, de compétitivité, de concurrence, etc. Il nous faut repenser notre économie. En particulier, faire de l’agriculture notre moteur de croissance et créer des champions nationaux. Cette stratégie nationale devra mettre en branle toutes les composantes du secteur privé, ainsi que toutes les composantes du secteur public concernées, à savoir la planification, l’économie, l’énergie, le transport, les domaines et affaires foncières, la finance et le commerce. S’agissant des programmes économiques avec le FMI, les résultats restent mitigés, du moins considérés à travers le prisme du secteur privé. Le GICAM conseille que l’on ne peut en effet pas indéfiniment être sous ajustement structurel, car le provisoire ne saurait s’installer définitivement dans notre environnement économique.

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